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vendredi 19 février 2010

High Kick Girl ! (le film)



Scan du Film (INEDIT)







ハイキック・ガール HIGH KICK GIRL ハイキック・ガール


Le chorégraphe de Black Belt, Fuyuhiko Nishi, a tourné High-Kick Girl! avec en tête d’affiche la jeune championne de karaté, Rina Takeda (17 ans !).


C'est l’histoire d’une lycéenne "karatékate" qui aiment ce battre et ce mesurer aux autres, elle est en quête de la ceinture noir, Tout son petit monde va se retrouver bouleversé par l’arrivé de Méchants qui veulent attaquer sont maître et se « venger » de lui… (Voilà en gros ce que j’ai compris, je ne parle pas japonais)


Personnellement High Kick Girl n’est pas grandiose, surtout pour ceux qui ne pratiquent pas le karaté et qui n’aiment pas forcement tous ce qui vient du japon… Le scénario est prévisible et n’est pas super originale…

Cependant, en tant que Karatéka JKA japonisant, J’ai apprécié le film. Dans celui-ci, nous avons Naka Tatsuya senseï (qui était au stage annuel à Bruxelles organisé par Sawada senseï) qui a le premier rôle masculin.

Durant le film, on pourra voir Naka senseï exécuté Nijushiho et ses élèves faire Tekki Shodan. Concernant les chorégraphies de combats, elles auront une « touche » non négligeable Shotokan surtout quand Naka Tatsuya sera impliqué dans celles-ci…

Tous les acteurs du film font réellement des arts martiaux, il y a quelques karatekas JKA et des Karatekas d’autres styles comme le Kyokushin ou le Goju-ryu je crois… Ainsi qu’une pratiquante de , Naguinata et une Boxeuse

Ils ont insisté sur la « réalité » des frappes dans le film, c.-à-d. que la plus part des coups ont réellement été porté, ça n’a l’air de rien comme ça mais il y a eu quelques acteurs qui ont été blessé durant le tournage…

Pour finir il y a quelque chose qui pourrait être une horreur pour les non pratiquants, c’est les ralentis qui reprennent toutes les actions… Personnellement, j’ai apprécié car je pouvais à chaque fois revoir l’action et apprécier les qualités et les défauts des combattants dans leurs chorégraphies…

Conclusion, High Kick Girl n’est pas exceptionnel mais il est original pour un film de « baston ». Il y a de bons points comme le casting, les belles vues sur Tokyo et les chorégraphies sans trucage ni doublage avec la « réalité » des impactes de coups…
Un film à regarder au moins une fois, ne serait-ce que pour la démarche qui a été prise pour nous offrir un autre genre de film d’action de type « karate ».
Le fim est INDISPENSABLE pour les pratiquants de Shotokan, le film est à voir absolument au moins une fois… C’est une première… Un film d’action shotokan c’est du jamais vu…



vendredi 12 février 2010

Bunkaï Heian Shodan (par senseï El Edrissi 4e Dan JKA)





Philipe avait pensé à apporter une camera la semaine dernière et à la fin du cours on a demandé deux, trois explications, un bunkaï donc, de Heian Shodan à Notre senseï…

Il a gentiment accepté de se faire filmer pour nous montrer quelques techniques issues de Heian Shodan et m’a pris comme cobaye…

Donc la vidéo n’est pas une confrontation mes quelques explications et principes issus du premier Kata Shotokan.

samedi 6 février 2010

Mikio Yahara 8e dan : Interview

Photo INEDIT




Mikio Yahara fut formé à la dure école de la JKA par la première génération d’instructeurs. Pendant dix ans, de 1974 à 84, il livra des combats dantesques qui firent de lui l’un des combattants les plus redoutés de la planète Karaté. Toute sa vie, il lutta contre les Yakuza, qui apprirent à le craindre et le respecter. Tireur d’élite, expert en lancer de couteau, Mikio Yahara, 8e dan Shotokan, est une légende des Arts Martiaux au Japon.

L’évocation du nom de Yahara Mikio donne généralement des frissons. De joie quand on le côtoie en tant qu’élèves, de craintes et de douleurs si l’on n’est pas du bon coté de la barrière.
Sa vie est jalonnée d’exploits devenues légendes. Entré à la fameuse Japan Karaté Association à 18 ans, il en deviendra l’un des combattans les plus respectés. Nakayama Masatoshi, qui fut l’un de ses Senseï, disait que c’était « le meilleur combattant de sa génération ». Forcément un doux euphémisme dans la bouche du co-fondateur de la JKA.
Egalement formé par Kanazawa Hirokazu et Yano Kenji, surnommé le « destructeur » , Yahara fit sa réputation sur son Ichigeki, le « coup mortel », objectif ultime de sa recherche de Budoka, qui fit beaucoup de dégâts.

DÉMÉNAGER POU ÉVITER D’ÊTRE TUÉ

En 2006, à 59 ans, lors de son examen pour le 8e dan, il cassa encore trois côtes à son adversaire sur une seule frappe ! Trois fois rien à côté du jour où, dans le cadre de son travail (Ndlr : il dirige une société de protection), il domina 34 Yakuza venu le démotiver de protéger les VIP japonais (une photo est visible sur http://www.japantoday.com/ mais il faut s’abonner). Sa lutte contre les Yakuza a évidemment contribué à forger sa légende. Pendant de nombreuses années, il dut constamment déménager pour éviter d’être tué. Mais les Yakuza finirent par s’apercevoir qu’il n’avait pas peur de mourir…
Guère favorable au versant sportif du karaté, Yahara Mikio, 62 ans depuis avril, est aujourd’hui à la tête de la Karatenomichi World Federation qu’il à créée en l’an 2000 (42 pays affiliés). Une école à son image qui dispense l’enseignement des premières années de la JKA. Car, pour Yahara senseï, descendant de Samouraï par sa mère et d’officiers de la marine militaire par son père, Karaté rime avec Budo. Et le Budo, c’est « être capable de se défendre et défendre les siens en cas de nécessité ».

Konichiwa Senseï. Nous avaons entendu dire que, les médecins vous avaient dit que vous ne vivriez pas au-delà de vos 20 ans. Est- ce vrai ?

Oui. Petit, je courais beaucoup et, un jour, j’ai eu un malaise cardiaque qui m’a paralysé. Mon médecin m’a dit que, même si je parvenais à guérir, je devais mourir avant mes 20 ans et, de toute façon, je ne pouvais plus faire d’activités physiques.
En fait, j’ai décidé de me muscler et de fortifier mon corps. Je pratiquais déjà le karaté avec mes frères depuis l’âge de 10 ans mais, à mon lycée, il n’y avait pas de club alors je me suis mis au Judo. Je n’y ai pas trouvé mon compte physiquement et je me suis inscrit dans un club de karaté. Le hasard a fait qu’il était affilié à la JKA.

« DES INSTRUCTEURS TRANSPORTÉ À L’HOPITAL… »

Ce fut le début d’une longue histoire…
Effectivement ! En fait, un Senseï venait régulièrement de Tokyo et et il me facinait à un point que je n’ai eu qu’une envie : aller m’entraîner au Hombu Dojo de la JKA. Mais, pour devenir instructeur, il fallait poursuivre ses études. Même si je n’aimais pas trop ça, je m’y suis résigné et je suis allé à l’Université Kokushikan à Tokyo.

Quels souvenirs gardez-vous des entrainements de cette époque ?

C’était très dur ! Les entrainements étaient poussés à l’extrême et les combats étaient physiques. Il était courant que des instructeurs soient transportés à l’hôpital. Mais, étrangement, j’y trouvais un réel plaisir car j’étais dans l’endroit de mes rêves ; J’avais pu intégrer le milieu que je souhaitais rejoindre. Je ressentais une joie profonde à cette idée. Je n’ai jamais pensé abandonner.

Vous êtes même devenu l’un des combattants les plus craint de la JKA. Racontez-nous quelques épisodes qui ont fait votre réputation.

Il y en a beaucoup… Un jour, je combattais avec mon sempaï (ancien), Yano Senseï. Je l’ai touché une fois et, en réponse à cette audace, j’ai reçu une contre-attaque dix fois plus forte. Je suis tombé, le nez en sang. Normalement, cela signifie que j’avais été soumis. Au lieu de cela, j’ai essayé de riposter mais un puissant Maegeri au visage m’a mis K.O. j’ai été transporté à l’hôpital. Le lendemain, se déroulait le championnat Kurobi Kaï (ceintures noires). J’avais promis d’y participer alors je me suis esquivé de l’hôpital et je me suis présenté avec mes pansements au visage et mon nez cassé. Tout le monde était surpris. J’ai gagné en Kumite comme en Kata !

L’examen pour votre 3e dan est aussi entré dans la légende…

Ce jour-là, en kumite, je devais dominer un instructeur et deux 3e dan… Deux sont partis à l’hôpital. A cette époque, je m’entrainais du matin au soir. Je combattais tous les jours avec une centaine d’adversaires, tout spécialement les plus arrogants. Cela se terminait souvent ma pour eux (il rit).
Une fois devenu instructeur, en écoutant des stagiaires, j’ai compris qu’ils avaient tous peur que je les étrille. J’ai hérité du ciel une détente et une vitesse qui se rapprochaient plus de celles d’un fauve que d’un être humain. J’étais très souple naturellement et j’ai travaillé de nombreux Henka Waza (enchainements). Je faisais visiblement peur par la subtilité et la force de mes techniques.

Beaucoup de rumeurs circulent sur votre relation avec les Yakuza. Pouvez-vous nous éclairer sur ce sujet ?

Mon activité professionnelle consiste à assurer la sécurité de personnes importantes. Ce qui implique que je sois en contact, malgré moi, avec les yakuza. Pour régler une affaire ou un dossier délicat, il arrive parfois que nos rapports deviennent conflictuels. Je dois alors réagir très vivement et très durement.
Ils sont souvent extrêmement surpris de ma réaction. Je ne leur fais aucun cadeau. Au fil du temps, certains sont devenus mes admirateurs, au point qu’ils m’invitent ou me font des cadeaux. Mais je refuse toujours catégoriquement. Vous l’aurez compris, mes rapports avec les Yakuza sont strictement d’ordre professionnel.

« NOUS ÉTIONS PRÊTS À MOURIR »

Revenons au karaté. Pourquoi avoir créé la Karatenomichi World Federation (KWF) ? Qu’est-ce qui la différencie de la JKA ?

Actuellement, ce qu’on appelle karaté est un sport parmi tant d’autres et j’ai des difficultés à accepter cela, de par mon passé Budoka. Ce Karaté sportif n’a aucun caractère de Budo.
Pour moi, le Karaté est un art martial qui peut faire couler du sang. Qu’est-ce que le Karaté à l’origine ? C’est fortifier sont corps pour que celui-ci devienne une arme ; c’est protéger son maître, sa famille et soi-même contre des agressions. En d’autres termes, dans le karaté, on doit être capable de maîtriser un adversaire d’un seul coup, à l’instar des techniques de sabre ancestrales. Dans le Karaté sportif actuel, il s’agit de marquer des points. Cela n’a plus aucun rapport avec la tradition ancestrale où le Karaté est un art martial de défense.
Les Katas, qui recèlent toutes les techniques de défense, ne servent donc plus à rien. La JKA se trouve en fait entre la KWF et le karaté sportif. A la KWF, nous cherchons l’ambiance et la philosophie du début de la JKA où nous avions une mentalité de samouraï. Nous étions prêts à mourir.

«LE CORPS MÉMORISE MIEUX QUE L’ESPRIT »

C’est pour cette raison que la recherche ultime de vos entraînements est le « Ichigeki Hissatsu » (le coup mortel) ?

Dans les siècles passés, si l’on ne réussissait pas à anéantir un adversaire du premier coup, on était mort. C’est dans cette logique que l’on travaille. Comment arriver à ce niveau est la vraie question. Quelle technique utiliser, quel angle, à quel vitesse ? Bref, comment le corps doit-il être utilisé et bouger ? C’est le « Kihon Waza » de la KWF. Ce que nous appelons rotation des hanches signifie que la hanche est ouverte au maximum, jusqu’à l’extrême, comme un ressort tendu au point maximal et qui tend à revenir à sa position initiale, le principe est identique pour les muscles dorsaux.

Vous insistez beaucoup sur la répétition des techniques de base dans vos cours. Pourquoi ?

N’importe qui, n’importe où, peut faire un mouvement avec ses bras et ses jambes. Mais pour être efficace et parvenir à « l’Ichigeki », il est indispensable d’additionner vitesse, contraction des muscles et compression des articulations jusqu’à l’explosion du mouvement. Nous ne pouvons y parvenir qu’au travers du Kumite et au kata ainsi qu’à la répétition des techniques.
De plus, le corps mémorise mieux que l’esprit. Pour effectuer un mouvement, le cerveau donne l’ordre au corps qui, ensuite, exécute. Le cerveau peut oublier le mouvement si celui-ci n’est pas travaillé pendant un certain temps.
Par contre, si le corps a bien mémorisé la technique à travers des milliers, voire des dizaines de milliers de répétitions, il réagira instinctivement au temps opportun.
Mikio Yahara...



Octobre 2009-0910/KaratéBushido-33

jeudi 4 février 2010

« Quand on veut, on peut… » [Richard Heselton 3eDan JKA]

Richard Heselton est une personne comme vous et moi, il avait une passion, un rêve, un but et il y est arrivé ! Grand combattant JKA, Richard Heselton un "super" senseï pour la nouvelle génération de karatékas, voici son histoire…

UN ANCIEN Whitby, artiste martial reconnu a été cité par un magazine de karaté très connu pour avoir repousser toute l'opposition et devenir le premier karatéka non-japonais à avoir gagner les championnats japonais.
Richard Heselton, dont la famille vie dans la Cour Runswick, s'est rapproché de l’obtention du titre deux fois après des batailles âprement menées avec les meilleurs combattants au Japon.
Mais cette année, Richard (32), un ancien élève d’Eskdale et du Collège universitaire Whitby, fait tout son possible pour la victoire après la défaite subit à un fil contre le champion japonais Shimizu Sensei.


En étudiant à l'Université Takushoku à Tokyo, Richard a rejoint le célèbre club de karaté de l’université, aux douzaines de combattants célèbres dans le passé et a eu l’honneur d'être fait capitaine le l’équipe de karaté pendant deux ans.
Maitrisant maintenant la langue japonaise, Richard, qui a vécu à Tokyo pendant 14 ans, enseigne aux jeunes l'art du karaté.
Et quand il rentre à la maison, il aiguise ses habiletés/compétences au « Whitby Shotokan Club » basé à l'École Airy Hill, transmettant ses connaissances aux jeunes Karatékas locaux pleins d’énergies.


Le père de Richard Heselton, Doug a dit qu’il était extrêmement fier des accomplissements de son fils et à insister pour que son fils continue pour remporter le titre suprême dans l’ultime tournoi JKA.
"Ca lui est arrivé deux fois maintenant où il a été « doublé » et je lui ai dit qu’ils ne pourraient pas vouloir le donner à un concurrent non-japonais. (le trophée ultime) »
"Mais il m'a dit qu'il va certainement l’avoir cette année." Et il a ajouté que Richard a aussi gagné une réputation à propos son style de combat batailleur.
"Il a eu le surnom de ' le Monstre ' car je pense qu’il combat à la dur dans les kumite"

Article écrit par Steven Hugill et traduit de l'anglais au fançais par Ryuzaki

Publié le 2 Mai 2008

Source: Whitby Gazette Friday
Lieu: Whitby

mercredi 3 février 2010

Kazuhiro Sawada Senseï 7eDan JKA [et le Ippon Karate Huy]

Sawada Senseï (7ième Dan JKA)


Sawada pendant sa visite annuel au dojo



Sawada et une partie du club Ippon Karate Huy



Sawada en Hongrie avec mes amis Hongrois et moi


Ce fameux jour du 11 octobre 2008 :)



Petite anecdote sur Kazuhiro Sawada: un jour, il y avait un stage provincial à Seraing (petite ville industriel Belge) avec Senseï Sawada, le soir. Mais je devais aller à Bruxelles pour un anniversaire... Ne sachant plus quoi faire (comme on dit "entre les deux mon cœur balance"), j’ai finalement opté pour le cours de karaté au risque de rater l'anniversaire ou d’y aller en kimono (Gi)...

Après l'entrainement, on a tous été boire un verre avec mon Senseï, Senseï Sawada et d'autres senseï...

Finalement, voilà que j’entends que Senseï Sawada rentre vers Bruxelles, c'est là que je lui demande si c’était possible de rentrer avec lui car je devais aller à Bruxelles et il me répond : -"yoshh oui bien sûr" ...

Ce fut magnifique pendant 1 heure, j'ai pu parler de tout et de rien avec lui, du japon, du karaté, c'était vraiment chouette. Pour finir, il m'a raccompagné à deux pas de là où je devais aller...si gentillement et naturellement que je n'en revenais pas...J’en garde un très bon souvenir...c'était le 11 octobre 2008 je crois...

Depuis il me reconnait à chaque fois et quand je suis parti en ERASMUS en Hongrie en 2009 on c'est rencontrer dans un stage et là, il m'a dit : -"hoooo??? Toi ici? Mais qu’est ce que tu fais là? hahahahha" "Le karaté en Hongrie c'est dur hein?? hahahaha".. (Voir Photo)

Je l'aime vraiment bien Senseï Sawada (7 ième Dan quand même) et pas seulement pour sa sympathie mais aussi pour sa technique et sa vision du shotokan ainsi que son approche du combat assez rare en shotokan JKA...

Chaque année, Il vient donner cours dans notre club Ippon Karaté Huy et c’est toujours un plaisir de le recevoir…

Merci Senseï…



Biographie De Senseï Sawada
Sensei Kazuhiro Sawada est né en Hokkaïdo, l’île septentrionale du Japon, en février 1952. Dès les études secondaires il fait ses premiers pas dans le monde du karaté. C’est donc tout naturellement que Sensei Sawada s’inscrivit au club de karaté de son université lorsqu’il entama ses études à Taishô Daigaku (université de Taishô). Etudes de quatre ans durant lesquels il s’entraîna sous la direction des Sensei Iida et Hayakawa.

Membre actif de l’équipe Taishô dont il sera capitaine la dernière année, celle-ci remportera par trois fois les championnats universitaires du Japon. Dans la catégorie « individuel », Sensei Sawada sera champion universitaire de la région de Kantô (partie ouest du Japon) et deux fois finaliste des championnats universitaires tous styles.

En mars 1975, diplôme en poche, Sensei Sawada se vit assigner, sur instance de la fédération, le poste d’assistant de Sensei Miyazaki au niveau national. Le dôjô Brussels’ allait ainsi bénéficier d’un second instructeur jusqu’en septembre 1984, date à laquelle Sensei Sawada retourna au Japon.

Le 31 mai 1993, Sensei Miyazaki nous quitta suite à une longue maladie. Sur invitation de la fédération belge de karaté, Sensei Sawada décida alors de revenir en Belgique réintégrant ainsi un poste officiel au sein de la fédération, à savoir celui d’instructeur national. Celui qui fut assistant et collaborateur reprit alors les rênes du dôjô.